Elya
Nombre de messages : 1 Date d'inscription : 19/06/2009 Localisation : Norsca
Feuille de personnage Race: Humaine Points de Vie: (100/100) Equipement Porté:
| Sujet: Elya, Capitaine de Norsca Ven 21 Aoû - 11:05 | |
| Nom : Mon nom est Elya.
Surnom: Je n'en ai pas vraiment.
Race : Humaine
Sexe : Féminin
Royaume/Région : Depuis ma naissance, je n'ai pas quitter Norsca. Ainsi, mon allégeance va vers ma patrie.
Métier : Maraudeuse de Norsca, Capitaine Histoire: Je suis née, il y a maintenant une vingtained'année dans un petit village de Norsca au pied des montagne et au bord de la mer. Je suis la benjamine d'une famille de trois enfants, autant dire que j'étais l'enfant de trop aux yeux de mon père, voulant un garçon. Ma famille était d'une classe assez importante, bien au dessus de la moyenne déplorable du village. Mon père était l'un des commandants Maraudeurs du chaos universel et n'était que très rarement présent. Mais ces visites n'étaient jamais longues et n'étaient en rien réconfortantes. Ni pour moi, ni pour mes frères et soeurs.
J'ai toujours était très proche de ma mère. D'ailleurs, aujourd'hui encore, elle est un modèle pour moi. Mariée très jeune à mon père, elle n'a pas vraiment eu le choix et pourtant elle a toujours pris très grands soin de nous, ses enfants. Femme au foyer, elle ne s'ennuyer jamais mais m'avais toujours conseillais de ne pas finir comme elle. Peut-être ne voulait-elle pas le même destin pour moi que pour elle car mon père n'était pas là quand je vins au monde. Heureusement que le reste de ma famille était très soudée, principalement moi et mon frère aîné, Erak. Mon père l'avait toujours dédaignait à cause de sa faible carrure et pourtant c'est vraiment quelqu'un de bien. Ma soeur, elle était un tout autre modèle. Très agressive et prétentieuse, elle adorait les Dieux du Chaos d'une manière hystérique à tel point que j'en fus profondément dégoûtée. Mais ce n'était rien comparé à mon père, qui était plus que fanatique. Je me souviens même que parfois, lorsque qu'il se mettait à parler d'eux, il semblait habité et fou à lier. Moi, ma mère et mon frère n'adorions pas les Dieux du Chaos mais ma soeur et mon père les aimaient largement pour cinq. Nous les craignons et les respections mais cela n'allait pas plus loin.
Je grandis donc dans cet environnement hostile où les gens ne vivaient que pour servir les Dieux. Mais ma mère et mon frère étaient là mais Erak, à l'âge de cinq dût comme le veut la tradition choisir son Dieux. Il me demanda mon avis et étant petite je me souviens lui avoir dit de s'adorer lui même, il a rit puis à réfléchit plus sérieusement. Jugeant Tzeentch le moins barbare de tous, il opta pour l'Architecte du Changement et rejoins avec résignation ses adorateurs. Ma soeur aussi choisit mais très vite son camp, Slaanesh, bien sûr.
Pour moi, les années passèrent et j'atteins l'âge de mes cinq ans sans m'en rendre compte. Et, alors que je marchais dans les rues, un groupe composait seulement de fille m'interpella. Alors, je compris que je devrais choisir:
-Comme tu le le sais, commença leur chef une fille brune au visage rond franchement laide, tu viens d'avoir cinq ans. Nous l'avons su par ta soeur et comme tu le sais aussi la tradition du village veut qu'à chaque solstice et équinoxe, tandis que nos parents honorent les Dieux, nous, jeunes adorateurs devons recourir au Rite de Passage. Tu devras choisir d'honorer l'un des Grands dieux Chaotiques et entrer dans le clan. Et, comme toutes les filles du villages, je suppose que tu décideras d'honorer le Grand, l'Incomparable Slaanesh. Il te reste une journée, reviens demain.
Ma journée passa dans l'angoisse du lendemain à tel point que ma mère dût me mettre au lit. Puis la lendemain arriva, trop vite pour moi et ma mère partie très tôt dans la montagne, honorer les Dieux. Je me souviens m'être traînée pitoyablement jusqu'à la place. Là les cinq groupes attendaient que les enfants de mon âge suivent comme des moutons leur stupide tradition.
Les enfants s'agenouillèrent comme des bêtes devant les groupes et bientôt, ce fut mon tours. C'est au Chaos Universel que je jurais fidélité. Oh, bien sûr, j'ignorais qu'il faudrait que je Marque pour toujours l'un des Esclaves, enfants de mon âge. Alors, on me tendit la barre de fer rougie par la chaleur avec laquelle je devais certainement briser une vie. Me dirigeant vers les Esclaves non marqués du Chaos Universels, je constatais avec horreur qu'ils avaient mon âge. Le petit garçon que je devais asservir au Chaos Universel me regardais avec des yeux exorbités et plus que suppliants. Les larmes qui dégringolaient sur ses yeux étaient si énormes -du moins c'est ce dont j'avais l'impression- que j'aurais cru qu'il allait exploser. Alors, instinctivement j'ai fait comme l'aurais fait mon frère et comme l'aurais fait ma mère, j'ai lâché la barre rougie par le feu à terre avec tant de rage qu'elle rebondit et brûla le pied de l'un "grand" qui hurla de douleur. J'entendis autour de moi des cris de stupéfactions et d'outrage. Cris qui devinrent bientôt des hurlement de rage et de haine. Mais le seul cris auquel je prettais attention était celui du petit garçon que j'avais sauvé qui m'acclamer littéralement sous son baillons. Bientôt noyée par la foule autour de moi, j'ai discerné vaguement le visage de ma soeur, riant aux éclats lorsqu'on m'appliqua le fer rouge brûlant sur la poitrine. Puis, je me suis éveillée, une heure plus tard, mourante de douleur sous les coups que l'on m'avait infligé en plus du reste. C'est Erak qui me trouva par terre, je ne pleurer pas, je n'en avais même pas la force. Mon grand frère me souleva et m'emporta sur son dos vers chez moi, sous les injures que l'on me lançaient mais personne ne m'attaqua. Je mis une semaine à m'en remettre à peut près car ma mère passait jour et nuit son temps à mon chevet, me soignant avec amour. L'année passa alors très lentement, j'étais seule, mis à part mon frère et le solstice approcha de nouveau. Bien sûr, je n'étais pas invitée mais je me jurais de ne pas regarder le massacre ne serais-ce que pour que les autres comprennent bien que je n'étais pas des leurs.
Comme l'année dernière je vis, de chez moi des enfants de cinq ans sur la place du village attendant que leurs aînés leur fasse l'honneur de les faire entré dans leur clans. Erak, ma soeur et ma mère étaient cette fois-ci partit ensemble à la cérémonie de l'équinoxe et je leur avais dis que je ne participerais pas. Ma mère n'avait rien dit mais approuvait, mon frère avait rit et ma soeur avait tenté de me gifler. Les enfants et les esclaves impériaux s'alignèrent et bientôt, le "massacre" commença. J'ai fermais les yeux, me suis retournée puis suis repartie à mes occupations principalement garder nos chèvres.
Parfois je regarder d'un air absent l'horreur jusqu'à ce que je vois un petit garçon de cinq ans, apparemment lui aussi du Chaos Universel lâchait son fer. Je m'en revenais pas, je n'avais jamais vu un garçon ne serais-ce qu'hésiter. Bondissant par dessus la clôture, j'arrivais trop tard et le perdit de vu, noyé lui aussi dans la masse des Adorateurs, je n'entendis que son hurlement de douleur puis j'attendis.
Environs une heure plus tard, les enfants se dispersèrent, leur rite de passage accomplis ils retournaient chez eux le coeur lourd pour certain, je suppose. Lorsque seuls les passants se trouvaient dans les rues j'apperçus de nouveau de petit garçon et m'approchais de lu. Il pleurait tellement qu'il devait en être épuisé. De douleur? De tristesse? Peut être les deux et plus encore. Mais il pouvait pourtant être très fière de lui, à sa place, j'avais fait pareil et je suppose qu'il savait de quoi il en répondait.
Je me suis agenouillée devant lui et lui ai parlé en passant ma main dans ses cheveux ébouriffés:
-Ca va? Je t'emmène chez moi, si tu veux, je pourrais te donner de l'eau et tu pourras te reposer.
Il me répondit, je pense mais apparemment, il avait énormément de mal à parler. Je lui sourit avec compassion et l'emmenais chez moi où je le déposer sur le lit d'Erak qui n'avait aucun intêret à faire des histoire et de toutes façons, ce n'étais pas son genre.
-Ca fait mal mai d'ici une semaine, tu verras, ça passera. Je m'appelle Elya, Elya Naga, ne parle pas, tu ferais mieux de dormir, je veillerais sur toi. C'est très courageux ce que tu as fait, moi aussi, j'ai fais comme toi. Ai-je ajoutais en souriant.
Tout en le soignant avec douceur, j'ai beaucoup parler mais il en avait besoin je pense. Entendre un son qui n'étais pas une insulte devait lui être fantastique, à tel point qu'il est certainement allé mieux aussi grâce à mes sourires et mes paroles. Il me touchait et je pris grand soin de lui jusqu'à ce qu'il se calme et s'endorme. Lorsque je le vit dormir je lui posait une compresse d'eau supplémentaire sur le front. Le pauvre, on avait du mal à le voir sous les couches de compresses et autres pommades que le lui avait mis.
A compter de ce jour, Khrein devint mon meilleur et seul ami. Nous ne passions pas un jour sans nous voir et je me sentis beaucoup moins seule. Sa compagnie suffisais à me donner l'impression de n'avoir jamais vraiment existé sans lui. Erak fut d'ailleurs soulagé de me voir rire, il commençait à pensait que j'avais une pathologie étrange qui m'empêchais de rire à gorge déployée. Ma mère aussi fut ravie seule ma soeur devait continuer à me nuire même lorsque j'étais aux anges.
Je perdis mon père peu de temps plus tard, déclarer enfant du Chaos. ce qui me fis beaucoup de peine, même si je n'avais jamais étais très proche de mon père. Mon frère, lui, ne réagit nullement. Et ma mère, restait impassible. Je doutais qu'elle ai jamais aimé mon père. Khrein perdit également son père, mort. Il fut triste, lui aussi, ce qui nous rapprocha encore. Je grandis. J'évoluai. Et mes sentiments pour Khrein évoluèrent aussi, un peu malgré moi. J'eu de plus en plus de mal à le voir comme un ami. Mais je restais toujours avec lui, malgré tout. A mes quinze ans, alors que j'étais seule dans la rue au soir, la bande de ma soeur me rattrapa et je fus battue. Elles me laissèrent gisante appuyée contre un porche. Je n'avais pas pu me défendre, elles m'avaient prise par derrière, ces lâches. J'étais plus haineuse que triste, elles allaient me le payer. Heureusement, Khrein passa par là avant que je ne me lance à leur poursuite et qu'elles m'achèvent. Il m'apaisa, je me calmai. Là, il m'avoua ses sentiments. Mon coeur enchaina quelques sauts périlleux dans ma poitrine. Plus qu'heureuse, folle de joie et d'amour pour Khrein, je lui sautais au cou, oubliant ma douleur et l'embrassai avec fougue. Je sentais bien que mon avenir serait avec lui, je serais donc la femme la plus heureuse du monde.
Le temps passa à la vitesse de la lumière, j'aurais bien voulu qu'il ralentisse un peu. J'atteignais mes dix-sept et Khrein m'annonça qu'il partait pour son premier raid, je fis scandale, évidemment. Je savais très bien que les femmes ne pouvaient suivre les Maraudeurs dans leurs raids, ce qui me rendis folle. Je le vis partir avec rage et ma mère dut me retenir de force pour m'empêcher de le suivre. Il fût absent seulement quelques jours, les plus longs de ma vie, cependant. Je tournais en rond comme une lionne en cage. En plus du départ de Khrein, Erak était partit avec eux. De ce fait j'étais seule avec ma mère et lui infligeai ma présence. Patiente, elle ne cria même pas et me répondait toujours avec tendresse alors que je marmonnai toute seule. Elle tentait de m'apaiser, sans succès. Les soldats revinrent au villages, beaucoup moins nombreux qu'avant. Moi et ma mère étions sur le bord des nerfs, cherchant mon frère et mon coeur, Nous les apperçumes et je me jetai à une vitesse prodigieuse dans les bras de Khrein. Mon frère était blessé mais survécu. Les hommes nous racontèrent leur aventures. Je fus très impressionnée par Khrein, comme les autres, d'ailleurs. Mais mon soulagement me rendais muette. Ma mère, de même.
Par la suite, Khrein devint défenseur du village. Et, comme nos hommes avaient été décimés, il fus permis aux femmes de combattre auprès des hommes. Evidemment, je fus la première à intégrer nos légions. Il était absolument hors de question que j'attende bien sagement le jour où mon aimé serait en grave danger. Me moquant éperdument du danger, je le suivrais n'importe où.
Il y a deux ans, Khrein me demanda en mariage. Bien sûr, j'acceptais, me mariai avec lui était mon rêve le plus cher. Nous nous mariâmes donc il y a de cela un an, ce fus le jour le plus heureux de ma vie. A présent, Khrein est mon mari, terme qui me plait vraiment, l'appeler "mon mari" me donne des ailes. Ma mère et mon frère assistèrent à la cérémonie, pas ma soeur, je lui avait interdit. Je suis donc au comble du bonheur, près de mon mari et je sais que rien ne pourrais nuir à mon bonheur tant que je serais avec lui. Malgré les guerres et malgré les problème en Norsca.
Apparence : Je suis âgée de vingts ans et suis plutôt petite, je dois bien l'avouer. Petite et mince, je suis agile et rapide, mais vulnérable au combat en cas de blessure. Mon visage aux traits fins et doux est très beau, tout comme mes yeux de biche d'un brun profond. J'ai les yeux de ma mère, j'en suis très fière, c'est une femme magnifique. Je lui ressemble en bien des points mais elle clame haut et fort que je suis la plus jolie femme de tout Norsca. Mais je déteste qu'elle dise cela, elle est très belle, elle aussi. Mes cheveux sont d'un roux très doux et discret. Longs et fins, ils encadrent mon beau visage avec grâce. Malgré mon allure fragile, je suis une excellente combattante. Pas dans le même genre que les autres, ben sur, je me bat avec plus de grâce et moins de violence, je n'aime pas ça.
Caractère : Malgré mon évolution dans un univers de violence, je n'aime ni la vue du sang, ni me battre sans raison. Je préfère la douceur à la guerre, ce qui me paraît tout à fait normal mais certains se délectent du mal. Pour cela, je suis un peu comme ma mère, le côté "servante" en moins. Je ne supporte pas que les hommes ne me traite pas comme une égales, mais en général, mon mari leur rappel les bonnes manières. Il est très protecteur avec moi, à la bataille comme au village, il ne me quitte jamais. Je l'aime plus que tout. Chaque jour passé avec lui est un bonheur sans égal. J'aime ma famille, mon frère et ma mère, ma soeur n'est rien pour moi, je ne l'ai même pas invitée à mon union avec Khrein. Je mène donc une existence parfaite aux côté de mon coeur, mon mari, l'être que j'aime plus que tout au monde.
Equipement :Epée bâtarde, tunique serrée de cuir, pantalon de cuir serré assortie, alliance (artefact), bracelets de bronze
Capacités spéciales : Maître d'arme de l'épée bâtarde, parade, charge (artefact)
Artefact: Mon alliance, tout simplement. Elle passe dans ma famille depuis des génération et ma mère le donna à Khrein, pour moi.
Remerciement à Huanchi/Oromë/Khrein, pour tout ^^
Dernière édition par Elya le Mar 1 Sep - 16:00, édité 2 fois | |
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