Quête du deuxième artefact et suite du rp: la vampire et l'elfe.

Voici la suite de notre Rp, et je ferai par la même occasion ma quete de mon deuxième artefact qui me donnera "brouillard", si un MJ pouvait s'en occuper dès qu'il y a de l'action Quête du deuxième artefact et suite du rp: la vampire et l'elfe. Icon_biggrin

Après ma chaleureuse rencontre avec Mélana en Empire, nous voguions sur les eaux entre les deux grands continants en direction de Naggaroth. Mélana avait décidé de me suivre, je n'avais qu'un seul objectif en tête: reprendre la bague de mon arrière-grand-père, cette bague s'appelle "La Larme D'Espoir". Les elfes noirs l'avait volé à mon arrière-grand-père lors de son assassinat et je m'étais mis en tête de la reprendre, d'autant plus qu'elle me confèrerais un pouvoir magique.
Nous arrivions presque, à bord d'une grosse barque. Je m'approchai de Mélana qui regardai à l'horizon et lui dit:

"Mélana, ma haine est telle contre les elfes noirs que... que je peux leurs faire des choses horribles, ils m'ont enlevé se que j'avais de plus cher. Je ne suis pas de nature cruel mais... mais face à un elfe noir, ma vengeance est incontrôlable.
Je vous préviens juste, je ne veux pas vous choquer."

Nous approchions de la côte, il faisais nuit, l'obcurité nous cachait. Je jetai l'encre à la mer.

"Il va falloir nager jusqu'à la côte, on ne peut pas approché plus notre barque, sinon on vas se faire repéré et si les elfes noirs nous trouvent, nous sommes perdu."

Je sautai alors à la mer, suivit de Mélana et nageai jusqu'à la côte de sable. Nous nuos cachions derrière un rocher, un garde elfe noir patrouillait au bord de la mer.
Je déguenai les Alarions sans faire de bruit et avança derrère le garde, je lui enfonça une des épées dans le dos, il tomba à terre.

"Vite, il ne faut pas traîner!
Je sais où se trouve la forteresse et je connais parfaîtement ces lieux, j'y ai déjà été au paravant."

Nous atteigons la forêt et nous marchions discrètement à travers celle-ci, observant les allentours.
Après quelque heures, je vis au loin la forteresse mais je sentis une présence maléfique non loin de nous, nous nous metons à courrir aussi vite que possible. Et on arriva enfin à l'orée de la forêt. Devant nous, à deux-cents mètre, se trouvait un petit village et encore plus se dressait la forteresse sur un monticule rocheux. Je me tournai vers Mélana et lui dit:

"Voilà, nous y sommes, vous savez grimper à une corde? Je propose de nous introduire dans ce village, nous en trouverons bien une et nous pourrons ensuite monter à l'aide de celle-ci la muraille pour nous infiltrer dans le chateau.
Qu'en dîtes-vous? Avez-vous une autre proposition?"

Ma déviation de trajectoire brutal m'avait étrangement affectée. J'étais perturbée par le fait de savoir que mon "assassin" courait toujours dans la nature. Si je m'étais finalement rendue en Sylvanie, peut-être aurai-je eu une chance de lui mettre la main dessus. Cependant, je savais que ma rage m'aveuglais. Ainsi, peut-être qu'après tout, ce n'était pas plus mal. Je n'étais pas une barbare et je n'avais nullement l'intention de le devenir face à lui. Peut-être que mon voyage en compagnie d'Elarion à Naggroth me permettrais d'abord de prendre du recul et éventuellement de me défouler. Un peu, je ne suis pas une barbare.
Mon voyage en bateau fut plutôt agréable. Etant donné que j'étais seule avec Elarion, je n'étais pas tenté par ma nature vampirique face à d'autres humains. De plus, il n'était pas aisé de cacher mon identité, mon allure magnifique et fantomatique ne trompait pas. C'est pourquoi j'évitais au maximum de me montrer au jour, j'étais très voyante. C'est ainsi qu'une nuit, nous approchâmes des rivages. Je contemplais l'horizon. Mine de rien, j'étais plutôt nerveuse. Une vampire et un elfe se baladant à Naggaroth serait mauvais pour notre image. Soudain, Elarion approcha, sous le coup de la surprise, je sursautais vaguement puis lui décochais mon sourire éclatant habituel.
Il s'assit près de moi et ma dis à quel point il haïssait les elfes noirs... En fait, si nous nous étions croisé avant ma Transformation, nous nous serions battu. Pour une fois, être vampire avait du bon.

Je compris totalement ce que me dis le jeune elfe. Je ressentais la même chose... En plus compliqué bien sûr... Elarion voulait vengeance, il avait bien raison. S'il était trop énervé pour se montrer prudent, je l'aiderais. Je ne fus nullement choquée, il avait bien raison. Il n'avait rien dis lorsque ma soif me tenaillais et que j'avais dû aller chasser d'urgence. Je hochais donc la tête en signe d'approbation. Comme il le fis pour moi, je ne me permis aucun commentaire.
Ma vue plus perçante que celle de n'importe qui d'autre me permis de voir le rivage un peu avant Ealrion. Je grimçais légèrement et lançais un rapide regard à mon compagnon. Je m'inquiétais pour lui, bien plus que pour moi. D'abord, être aveuglé par la rage rendait très prévisible et distrait. Ensuite, l'elfe était bien plus fragile que moi.

Elarion aperçût les rivages à son tour et jeta l'ancre. Il paraissait très déterminé. Il m'annonça donc que nous devions nagé. Un instant plus tard j'étais dans l'eau après avoir fais un plongeon sans un éclaboussure. Après avoir exécuté quelques figure de haute voltige dan l'eau j'emmergeai et me laissais porter par les flots. Ma petite et menue silhouette me permettais de me laissais glisser sur la surface calme de la mer.
Nous arrivâmes donc sur la plage. Avec l'agilité d'un serpent, je glissais jusqu'à un rocher grisâtre et m'installais derrière. Puis Elarion dégaina ses deux épées jumelles et tua l'elfe en silence. L'acte me fis plus penser à un meurtre qu'à un combat mais je me tus. Ealrion me conseilla de le suivre en vitesse, je m'éxecutais en silence, pour une fois.
Là-dessus nous arrivâmes dans une forêt. Mon lieux de prédilection. D'un bond, je me retrouvais sur la branche d'un arbre et continuais mon avancée avec Earion en sautant de branche en branche.
Cependant, mon amusement fût de courte durée, au bout de quelques heures, Elarion me signala une présence maléfique dans les parages. *Non, deux* Pensai-je avec ironie. Il avait oublié de mon compter. J'opinais cependant et descendis à son côté. Je préférai ne prendre aucun risque, j'aurais plus de chance d'arriver à temps ainsi.

Nous nous mîmes donc à courir, en temps qu'ancien guerrier fantôme, il était très rapide mais le vent me porter presque. Je dûs donc ralentir. Plus tard, nous pénétrâmes dans la lisière de la forêt. Évidemment, je n'étais nullement essoufflée. Nous aperçûmes donc enfin la forteresse hissée sur un roc et un petit village, en avant. Mon compagnon elfe proposa alors de voler une corde pour escalader la muraille puis me demanda si je savais grimper à la corde. Évidement, j'éclatai silencieusement de rire et laisser fusé un sourire étincelant de malice sur mon visage pâle comme la mort avant de répondre:

-Bien entendu, je sais tout faire. Ou presque. Mais grimper à la corde sera un jeu d'enfant. Allons au village. Je vous suis.

J'eux un petit sourire, quel idiot d'avoir posé une question pareil, pourtant j'avais déjà remarqué l'agilité de Mélana.
Je mis mes mains sur ses douces joues et la regarda dans les yeux.

"Mélana, depuis que je vous ai rencontré, ma vie a changé, après des années des malheurs, je trouve enfin du bonheur en vous.
Et je voulais que vous sachiez, si jamais notre passage ici venait à mal tourné et que nous ne nous reverrions plus, que je n'ai jamais été aussi heureux en votre compagnie."

Je regarda ensuite la forteresse.

"Il est tant d'y aller maintenant."

Je pris mon arc bandé et posa une fléche dessus. Nous avançâmes discrètement et très doucement vers le village.
Nous prîmes un rue mais je reculai d'un pat vif: plusieurs garde, au moins six, faisaient leur tour de ronde. Il fallait les éliminé pour avoir un bon acces au maison, mais les éliminé en vitesse et sans faire trop de bruit.

"Mélana, cachez-vous quelque part et sortez au bon moment pour les avoir par surprise." lui chuchotais-je.

Je fis preuve d'agilité et monta sur le toit d'une maison, je fis ensuite un signe de la tête à ma compagne.
Je tendis la corde de mon arc et pris mon temps pour viser l'un des gardes, puis, je lachais la corde, je vis la flèche partire à toute vistesse vers la tête de l'elfe noir. Je pris ensuite en vitesse une deuxième flèche prêt à tirer sur les gardes...

Je ne pu retenir un hoquet de surprise lorsque Elarion posa ses mains sur mes joues. Mes grands yeux jaunes sortirent de leurs orbites. Qu'était-il en train de m'annoncer exactement?
En tous cas, c'était un très mauvaise idée de se lier d'affection pour un Vampire. Je me contrôlai, certes, mais que se passerait-il alors si je dois tuer à ma manière devant ses yeux? D'abord, il serait terrifié, ensuite, mes instincts de casseuses risquaient de primer sur tout le reste. Pourtant, moi aussi le tenais beaucoup à lui, il me rappelait un peu Elewën... Mais je savais pertinemment qu'un contact au mauvais moment pouvait lui être fatal. Lui serait même Forcément fatal... Je ne répondis donc rien à Ealrion, mais lui adressais un sourire consterné.

Nous nous tournâmes ensuite vers la forteresse. Sachant que Naggaroth regorgeait d'elfes noirs et qu'Ealrion ne les portaient pas dans son coeur, j'étais à l'endroit idéal pour chasser pour un bon moment. Mais je chassais vite cette idée de mon esprit, inutile de faire peur à mon ami et de prendre des risques fatals en plus. Cependant, j'étais tout fait prête au combat. Mon poignard, cette fois-ci me serait certainement utile, pas comme contre l'autre vampire. D'ailleurs, lorsque j'y repensé, je me demandais vraiment pourquoi je n'avais pas pensé sur le coup à renouveler l'assaut? Encore une question dont je perdais la réponse. C'est alors que je me rendis compte qu'Elarion marchait en silence devant moi. Je me mordis la lèvre, comme toujours lorsque je réfléchi ou suis nerveuse. Je filai donc vers Elarion, en silence, moi aussi. Je fronçais le nez en approchant du village, mon odorat surdéveloppé était apparemment répugné par les elfes noirs. Je n'avais aucune idée de pourquoi, mais apparemment, les elfes noirs n'étaient pas une proie de choix pour moi....

Je suivis donc mon ami à travers les ruelles, marchant en arrière. Etant donné mon sens de l'orientation déplorable -qui, au passage, nous avais perdus, moi et et mes frères- je restais en arrière. Inutile de me perdre dans cet endroit lugubre. Je marchai donc, en silence, contre les parois des couloirs de maisons étroits. Il m'étais très facile de me Camoufler, une main sur mon poignard, prête à frappé au moindre signe d'une présence autre que nous. Néanmoins, je ne pouvais m'empêchais de penser qu'un coup de dents de Vampire serait plus mortel qu'une flèche ou une lame, mais le danger pour Elarion qu'impliquait la manœuvre était trop important. Au bout d'un certain temps, mon compagnon recula d'un pas vif et pressé. Je le regardai avec interrogation et il m'intima de me cacher pour les surprendre... Rien de plus facile! En un bond, je me retrouvais sur le toit en face de celui d'Elarion et me fondis dans le noir. Cependant, mes yeux jaune vifs et ma peau blanche luisaient tant dans le noir que je risquais d'être découverte. Je rampais donc, tel un serpent, en fermant les yeux, sur le toit. Lorsque je rouvris les yeux, les soldats étaient un peu devant moi et n'avaient absolument rien remarqué. Je ricanais intérieurement. Je dégainais donc mon poignard en silence et visais tranquillement le plus haut des elfes noirs. Puis je lançais mon poignard d'Argent vers celui qui semblait être le chef. J'étais confiance, je n'avait manqué mon but qu'une seule fois et me demandais d'ailleurs au passage si je ne l'avais pas...fait exprès... Cette pensée me rendis malade et tandis qu'Elarion décochait plusieurs traits de flèche, je réfléchis. Ils allaient se rendre compte qu'une ou plusieurs ersonnes leur tendaient une embuscade, c'était maintenant ou jamais.

Mais que faire? Mon poignard devait déjà s'être planté dans la tête du chef des elfes noirs. La réponse fusa alors: attaquer avec mes propres moyens Vampiriques. A coups sûrs, j'allais les tuer, tous et avec l'aide d'Elarion, cela serait très rapide. Je pris une grande inspiration, priant pour ne pas faire de mal à mon ami. Mais je n'avais pas le temps de réfléchir, je bondis juste devant les elfes noirs, ces idiots avaient l'air de ne rien comprendre à ce qui se passer. Je leur décochais on sourire étincelant, dévoilant mes rangées de dent acérées et leur lançait un très aimable: "Bonsoir!"
Avant de bondir sur le premier qui ma passais sous la main et de lui briser le cou d'un coup de poing bien placé. Je profitais de leur stupeur pour envoyer envoyer quelques coup de pieds et "Force" ma force les faisaient tombés net, morts ou blessés, j'eus le temps de faire signe à Elarion d'aprochais tandis que je me ruai, dents en avant pour mordre un autre elfe. Nous allions les battre, j'en étais certaine...

Le combat était engagé! J'espérais que mes deux flèches atteindraient leur cibles, mais Mélana était déjà au corps à corps et je devais la soutenir, ne doutant nul de c'est capacité martial, mais il vallait mieux ne prendre aucun risque.
Je rangeai alors mon arc dans mon dos, tandis que des elfes noirs arrivèrent vers moi; je sautai du toit, déguenant les Alarions en l'air. J'atterris au sol en faisant un cumulait en passant entre les gardes.
Ils s'approchèrent de moi, je pris donc mon élan et fis un grand pas sur le côté suivis d'un autre de l'autre côté, mais se fut une ruse, je revins aussitôt au côté opposé et frappa un garde sur son flanc avec mes épées...

Les deux flèches d'Elarion firent mouche, atteignant l'un des deux druchii à l'épaule et au bas-ventre. L'elfe s'effondra, les deux mains crispées sur ses blessures. Pendant ce temps, Mélana s'était avancée vers le second elfe, et le frappait dans sa course, le culbutant et l'envoyant rouler, l'échine brisée dans la poussière. Mais, alors qu'Elarion dégainait les Alarions, et venait lui prêter main forte, un autre danger apparut : les trois confrères des druchii qu'ils venaient d'abattre jaillirent des buissons à proximité. Alors que Mélana revenait en courant, le jeune elfe de Nagarthe dut faire face à deux de ses ennemis jurés, l'épée à la main.

Sureprenant une lueur malicieuse dans le regard de 'un d'eux, Elarion se jeta au sol et roula instinctivement sur le côté, entendant le claquement caractéristique des arbalètes à répétition druchii. Le troisième elfe noir venait de tirer trois carreaux dans sa direction, mais l'elfe esquiva les deux premiers, avant d'être touché à l'épaule par le dernier (-12 PV). Réprimant un cri de douleur, le jeune guerrier de Nagarythe se força à se relever, envahi de la haine des siens face aux druchii. Il fit face aux deux épéistes tandis que Mélana se précipitait sur l'arbalétrier...

Je soufrais de ce carreaux d'arbalète, je le pris d'une main et serrai les dents, puis arracha le carreaux. J'avais perdu beaucoup de force, mais je me remis en quelques secondes, sachant que notre vie était en jeu. Je me releva à l'aide d'une de mes épées et fonça sur les gardes elfes noirs dans une haine dévastatrice pour les submergé de mes lames au corps à corps...